Les virus

A l’origine des principales maladies d’aujourd’hui dont beaucoup de cancer
Les herpès virus ont un lien direct avec la neurodégénérescence (maladie de Parkinson et Alzheimer).
Lors d’une infection au virus, l’herpès passe sous la muqueuse et gagne le nerf vague, qui joue un rôle dans de nombreuses fonctions vitales de l’organisme, puis rejoint le cerveau et la moelle épinière.
Il s’installe ensuite durablement dans un ganglion du nerf rachidien et, de là, émerge de nouveau à chaque récurrence. Ces réactivations de l’herpès sont causées chaque fois par une lésion ou un traumatisme (abcès dentaire, aphte, brûlure de coup de soleil…).
À ce moment-là, le nerf vague va envoyer un message de lésion qui va passer par la voie sensitive, va amener l’herpès au cerveau et va redescendre en même temps que l’information de réparation.
À force d’emprunter la voie neurologique, il va l’abîmer.
Au-delà de la détérioration neurologique qu’ils pourraient engendrer, les virus herpétiques, par leur atteinte progressive au nerf vague, altèrent les fonctions viscérales : gastriques ou intestinales (ralentissement des vidanges), cardiaques (palpitations), thyroïdiennes (insuffisance), surrénalienne (baisse de synthèse de cortisol avec risque de burn-out),
Ils peuvent aussi induire une inflammation cérébrale et une dépression.
Pour limiter les dégâts et parvenir à mettre au repos le virus, la solution antivirale (Aciclovir, Zelitrex…) est la plus courante. Elle permet le traitement ou la prévention de certaines formes d’herpès en les tuant ou en les inactivant.
Il y a aussi des solutions plus naturelles pour prendre en charge cette pathologie :
le coriolus, un champignon utilisé en médecine chinoise, l’échinacée, une plante médicinale, ou l’écorce de lapacho, un arbre amazonien, qui peuvent se prendre sous forme de compléments alimentaires.