Nourriture et informations

La nourriture contient des informations.
La nourriture est une information qu’on donne à notre ADN.
Dans l’alimentation, tout aliment,  tout nutriment influence nos gènes, via des microARN, il est donc important d’en consommer en qualité.
Il est préférable d’avoir une alimentation bio, non industrielle, fraîche, maison et sans conservateur.
Éviter ce qui est brulé, le barbecue.
La cuisson doit être à moins de 150 degré et préférer la graisse de canard.
Manger des petites plantes et des petits animaux, éviter les gros poissons, car ils sont souvent chargés en métaux lourds dont le mercure, l’arsenic, les perturbateurs endocriniens, les micro plastiques…
Préférer les petits poissons : harengs, maquereaux, anchois, sardines.
Les poissons sont riches en oméga 3 animal (DHA et EPA).
Éviter les aliments transgéniques tel que le soja.
Consommer de bonnes huiles : oméga 3 végétal : huile de colza, noix, cameline et oméga 9 : huile d’olive.
Consommer moins de sucre rapides ou raffinés (sucre blanc, bonbons, confiseries, pain blanc, riz, pattes…)
Éviter les édulcorants, ou faux sucres : aspartame, acesulfame, le light et/ou zéro.
Se méfier des aliments gluten free , souvent très sucrés.

Favoriser la consommation de glucides complexes, et de qualité (sarrasin, millet, quinoa, riz complet basmati, fonio, amaranthe etc…)
et/ou des légumineuses (lentilles, pois chiches) germées (tremper toute une nuit). À consommer avec légumes cuits vapeur, variés et de saison.
L’association légumes et légumineuses ou céréales complètes ou semi complètes  permet de diminuer l’index glycémique.

Oublions le vieil adage : « au moins, 5 légumes et 5 fruits par jour ». Actuellement, il est préférable de dire : « au moins 5 légumes et 1 fruit par jour », car les fruits sont plus chargés en sucres et moins chargés en vitamines qu’autrefois (appauvrissement des sols).
Éviter les jus de fruits, trop sucrés.
Préférer la consommation du fruit entier car les sucres sont associés à des fibres, stimulant moins la sécrétion d’insuline.

Le fructose (que l’on retrouve dans le miel) est très délétère car il produit des triglycérides.

Diminuer la quantité de protéines.
Privilégier les protéines animales aux protéines végétales (tofu fermenté, quinoa, sarrasin…). 
Le régime vegane est non adapté aux personnes âgées.
Manger moins de viande rouge, 
La mortalité augmente de 40 %, en particulier la mortalité cardiovasculaire, chez les gros mangeur de viande rouge. 
Favoriser la filière animale santé : bleu-blanc-coeur, ou filière lin, riche en oméga 3.
Les protéines ont un impact sur l’insuline, identique au sucre. En particulier, les acides aminés branchés augmentent l’insuline.

Consommer moins de produits laitiers (yaourts).
La mortalité est élevée chez les buveurs de lait.
Éviter le lait qui contient du 
D galactose (l’enzyme qui dégrade la D galactose diminue à partir de 8 ans).
Il est possible de consommer du fromage car il n’y a pas de D galactose, mais il y a de la spermidine qui est un anti vieillissant, en rapport avec le système AMPK (qui freine la croissance cellulaire),
Plus le lait est écrémé et plus il augmente le risque de maladie de Parkinson (le lait écrémé contient moins de cholestérol). 
Concernant l’apport protéiné, il est préférable de favoriser le fromage au lieu des viandes.

Privilégier les épices, le curcuma, la canelle, l’ail, l’oignon, la pomme (bio), le thé vert, le vin rouge (Modérément), le chocolat noir….
Le café serait bon pour lutter contre la maladie de Parkinson et la maladie d’alzheimer. Il aide à sécréter de la melatonine.

Être en restriction calorique (jeûne intermittent: 7 à 8h/j, manger entre 8h et 20h).
Faire un jeûne intermittent et augmenter le temps entre chaque repas.

Les catégories de végétaux associés aux plus grandes réductions de pathologies et/ou aux plus grands gains de longévité sont :
les légumes secs.
les légumes verts.
les crucifères.
le soja.
les céréales semi-complètes
les alliacés (poireau , échalote, ail, ciboulette).
l’huile d’olive.
les oléagineux.
les champignons.
les algues.
les aromates (curcuma en tête) et herbes.
les fruits et baies rouges ou noires
le thé vert.
le chocolat noir.

Bien mastiquer.
Diminuer la tachyphagie (manger trop vite) avec la possibilité d’utiliser des outils connectés tel que la fourchette vibrante ou la pratique de techniques de gestion du stress.
La mastication permet de réduire les aliments en bouillie (action mécanique et enzymatique) et évite que l’aliment ne soit considéré comme un antigène par nos défenses immunitaires intestinales lors du passage de la barrière intestinale.
Ne pas oublier de faire une activité physique régulière. 
Une marche de 5 km/jour soit 10000 pas/jour est recommandée, afin d’optimiser la fabrication de mitochondries (usines à énergie du corps).
Bien dormir car toutes les opérations de maintenance du corps se font à ce moment-là.